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BIM,AI, ChatGPT, MetroParisien, Tech Show award, Peur, Changement, évolution, 2024

Le bon sens… Atrificel

Le bon sens… Artificiel Et on arrive à des moments où prendre le train pour aller à Paris ressemble à des vacances… jusqu’à ce qu’on descende vers le métro, dissipant tout malentendu lié aux vacances…La ligne 12 achève tout espoir, avec des rames du 19ème siècle abritant des spécimens dignes d’un Jurassic Park… Jurassic peut-être, […]

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A-humorous-and-slightly-satirical-scene-depicting-a-man-with-a-smartwatch-looking-frustrated-while-his-smartwatch-displays-sleep-tracking-data, générée par Dall-E

L’IA fait peur ?

C’est drôle comme c’est facile de tirer sur le messager ! Depuis quelques années, après une décennie de téléphone intelligent, je suis passé à une montre intelligente, et je le deviens de moins en moins moi. Parmi les applications, est le suivi de sommeil, mon souci est que je suis un petit dormeur, alors je

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Zreik.me

Site perso de Nawar Zreik

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4 weeks ago

النص العربي في نهاية النص الفرنسيUne pluie d’automne, légère et persistante, me ramène dans les petites rues de ma vieille ville d’enfance.Ambiance de fin de journée, fin de saison, fin des vacances.Une odeur qui me caresse les narines, cette pluie que je détestais et le parfum unique de notre jeunesse.Les magasins, avec les stores à moitié abaissés, une lumière à l’intérieur qui nous joue des tours, cet espoir qu’il n’est pas encore trop tard pour finir ses emplettes… mais on se retrouve devant des portes closes, le commerçant se pressant de rentrer.Une bande de jeunes devant une épicerie, refaisant le monde, rêvant d’un départ vers un monde meilleur.Des flaques qui se forment et se contemplent dans les reflets des bâtiments qui les entourent.Des fenêtres avec ces barres de fer pour se protéger, des volets ouverts pour signifier que la soirée est loin d’être terminée, on voit les lumières de la télé et on entend cette série qui dure depuis je ne sais plus quand...Des trottoirs vides, ou presque, avec le bourdonnement des pompes à eau qui rythment le silence ambiant, des mamans qui crient après leurs enfants.Les chats errants qui tentent d’échapper à cette pluie et de trouver de quoi manger dans les bennes à ordures qui jalonnent les quartiers comme des feux tricolores éteints.Les réverbères, ou ce qu’on considère comme tel, avec des câbles qui les relient ; on dirait des jouets de chiffons qui se tiennent par la main, habillés par les pancartes de médecins offrant leurs services, après s’être spécialisés dans "les hôpitaux de France" ou ailleurs.Des taxis jaunes, avec l’éclairage nocturne qui rappelle des hôtels de passe, où Oum Koulthoum chante pour les nostalgiques et de la pop arabe pour les plus branchés.Les couples rentrant chez eux : l’homme avec sa veste en cuir, et sa femme avec son voile blanc et son manteau noir, poussant un landau.Un camion chargé de matériaux de construction effectue une livraison pour un chantier sur le toit d’un immeuble, déjà habité avant même la fin des travaux.Des rires d’enfants qui observent la nuit qui s’installe depuis la fenêtre ouverte du deuxième étage, à côté de ce balcon où du linge affronte cette pluie, suspendu à un fil… linge et pluie ne font pas bon ménage.Une lumière brille malgré l’heure et le temps qu’il fait ; un magasin de sandwichs dégage des odeurs mêlant danger et festin.Mes pas résonnent faux… l’étranger chez lui.Presse-toi de t’évader, l’étranger, avant que le piège de la nostalgie ne se referme, te capturant dans la douceur d’un passé révolu.Putain de pluie…مطر خريفي، خفيف ودائم، يعيدني إلى الشوارع الضيقة في مدينتي القديمة.أجواء نهاية اليوم، نهاية الموسم، نهاية العطلات.رائحة تدغدغ أنفي، هذا المطر الذي كنت أكرهه وعطر شبابنا الفريد.المتاجر، مع الستائر نصف المغلقة، وضوء في الداخل يداعب الأمل بأن الوقت لم يفت بعد لإنهاء التسوق… لكننا نجد أنفسنا أمام أبواب مغلقة، والتاجر يتعجل العودة الى منزله.مجموعة من الشباب أمام دكان، يعيدون تشكيل العالم، يحلمون بالرحيل نحو عالم أفضل.برك تتكون وتراقب في انعاكسها المباني المحيطة بها.نوافذ الطابق الأرضي مع قضبان حديدية لابعاد الفضوليين، مفتوحة تدل على أن السهرة لم تنته بعد، نرى أضواء التلفاز ونسمع صوت مسلسل يدوم منذ زمن بعيد...أرصفة فارغة، أو بالكاد، مع دوي مضخات المياه التي تضبط إيقاع الصمت المحيط، وأمهات يصرخن على أطفالهن.قطط شاردة تحاول الهروب من هذا المطر وإيجاد ما تأكله في حاويات القمامة التي تنتشر في الأحياء كما إشارات المرور المعطلة.أعمدة الإنارة، أو ما يُعتبر كذلك، مع أسلاك تربطها؛ تبدو كألعاب قماشية تتماسك بالأيدي، مرتديةً لافتات أطباء يقدمون خدماتهم بعد أن تخصصوا في "مستشفيات فرنسا" أو في أماكن أخرى.سيارات الأجرة الصفراء، مع إضاءة ليلية تذكر بالفنادق الهابطة، حيث تغني أم كلثوم لمن يعيشوا في الماضي والموسيقى العربية الشعبية للأكثر شبابا.الأزواج يعودون إلى منازلهم: الرجل بجاكيته الجلد، وامرأته بغطاء رأس أبيض ومعطف أسود، تدفع عربة الأطفال.شاحنة محملة بمواد البناء تقوم بتسليمها لموقع بناء على سطح مبنى يبدو مأهولًا حتى قبل انتهاء الأعمال.ضحكات الأطفال تراقب الليل الذي يحل من النافذة المفتوحة في الطابق الثاني، بجوار ذلك الشرفة حيث يواجه الغسيل المطر، معلقًا على حبل… الغسيل والمطر لا يشكلان مزيجًا جيدًا.ضوء يشق العتمة السائدة رغم الوقت والطقس؛ متجر ساندويتشات يبعث روائح تجمع بين الخطر والوليمة.خطواتي تتردد بشكل خاطئ… انا الغريب في وطنه.عجل بالهروب، أيها الغريب، قبل أن يغلق فخ الحنين، وتبات مأسورًا في نعومة ماضٍ مفقود.تبا لهذا المطر...#nostalgie #pays #automne #pluie #réflexion #partage #exilé Nawar Zreik #follower ... Voir plusVoir moins

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